Accueil / Tag Parachutiste 19
DSC 3868 DxO
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La course
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Une fois largué, le parachute replié, il faut courir vers la zone de réintégration. Quand on est le premier du stick, c'est 2 bons kilomètres avec les 30 kg du parachute. Plus le paquetage!
Stick de 16, 3 ème à la portière
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La taille du stick (le nombre de parachutistes largués en un seul passage) dépend de la longueur de la DZ (drop zone) A vous calculatrices: Vitesse de largage: 130 kts 1 parachutiste par seconde (tout les 2 sec par porte) Stick de 16 Longueur de la DZ de Souge? Vous avez 2 minutes.
Largage au crépuscule
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Largage au crépuscule
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Coucher de soleil
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L'avion qu'on a quitté
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Photo sous voile du stick et de l'avion qu'on a quitté. Celui-ci va faire un circuit et larguer un autre stick.
Suivants...
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Une fois au sol, il faut arrêter de plier son parachute quand le stick suivant se présente. En effet, les objets qui tombent sont nombreux: Casques, bérets, ... voire (vécu) un caméscope VHS, une rangers (sisisi!) un Famas (qui n'a pas aimé l’atterrissage 400m plus bas...
le stick
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le stick
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Suspendu
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Suspendu à ses 4 élévateurs, 24 suspentes et 60 m2 de voile, le parachutiste se met en position d’atterrissage (ce n'est pas celle-ci!): Jambes rassemblées et semi-fléchies. Tirer sur une paire d'élévateur contre le vent permet de gagner environ 2m/s
"évitez d'être trainé"
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ETAP (Ecole des Troupes Aéroportées) Cet exercice consiste à apprendre à dégrafer son parachute une fois au sol. Cas qui se produit notamment en cas d'atterrissage par vent fort.
Embarquement
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L'avion ouvre la tranche arrière et charge sa cargaison de parachutistes (62 dans l'Hercules C-130 sur la photo) Ils sont assis par câble: A, B, C, D Chaque parachutiste a encore dans les narines l'odeur caractéristique du kerozène chaud que soufflent les hélices au ralenti.
Verification de coupole
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On passe la portière, et dans le vent relatif à 250 km/h, secoué par les drisses de rupture qui libèrent le parachutiste, on compte: 331, 332, 333... Dès le choc à l'ouverture, on écarte les élévateurs, et on lève la tête pour vérifier l'état du parachute. Ici, RAS. aucun trou, et les suspentes on résisté. Dans le cas contraire, c'est ouverture du ventral.
Après le saut...
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Les parachutes utilisés sont reconditionnés pour le transport, rangés par câble en faisceau. En attendant les parachutistes qui ont été largués le plus loin, avant la réintégration des parachutes dans le camion au fond. Parfois une looooongue attente. Alors on se raconte nos sauts.
Réintégration
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Réintégration des parachutes, pliés pour le transport. Ils vont partir pour la BOMAP, où les PTS, petit papier relevant les incidents, seront lus. Puis ils serons séchés, vérifiés et repliés pour un prochain usage. Un parachute faisait 100 sauts: 98 "normaux", un "dangereux" (pour le matériel (dans l'eau, en forêt, ...). Puis, s'il a survécu un 100ème pour le largage du matériel.
Arrivée de l'avion...
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L'avion a effectué un largage. Il revient pour prendre un nouveau détachement. L'ensemble de parachutistes, pour gagner du temps, a déjà perçu, s'est équipé, et son équipement a été vérifié. Ils sont rangés par câble, prêts à monter. Ici largage d'entrainement simple, sans la "gaine" qui contient le sac et l'armement.
Stick sut l'ETAP
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Largage de formation sur la splendide DZ de l'ETAP. Nous découvrirons plus tard que toute les zones ne sont pas le beau gazon anglais, épais, plat et confortable, que nous regretterons.
Tour d'entrainement
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Un parachute militaire ne peut pas tourner. On se retrouve donc sous voile de face, de profil, de dos par rapport au vent. Le mouvement latéral subi en touchant le sol doit être pratiqué de tous les côtés, pour pouvoir effectuer le "roulez-boulez" qui permettra d'éviter de se blesser. On descend de cette tour attaché à un câble, afin de répéter cette manoeuvre. Je pense que cet entrainement m'a clairement évité de me blesser lors de toute mes chutes, y compris après mon service. En moto notamment.